POURQUOI NOUS
DÉFINISSEZ VOTRE AVENIR
ENVIE DE DEVENIR INDEPENDANT?
La mise en place de systèmes générateurs de revenus nécessite beaucoup de travail et une bonne dose de motivation, mais cela en vaut vraiment la peine !!!
Dans la vie, il y a deux types d’individus, ceux qui travaillent à la réalisation du rêve de quelqu’un d’autre, en espérant de la gratitude et des augmentations de salaires et ceux qui travaillent à la réalisation de leurs propres rêves; les visionnaires !
La liberté de choix n’a pas de prix et selon toute vraisemblance, on ne vit qu’une fois.
… je vous parle d’expérience !
LES 7 PRINCIPALES LESSONS
QUE J’AI APPRISES AU CONTACT
DE MES CLIENTS LES PLUS FORTUNÉS.
2. Travailler avec un coach ou un mentor permet d’économiser des années (Tirer profit de ses expériences, de ses succès et de son réseau pour accélérer sa réussite personnelle).
3. Se challenger continuellement ; sortir de sa zone de confort afin d’atteindre son plein potentiel.
4. Participez à des “Masterminds”. Apprendre à mieux se focaliser et à rester aligné sur ses objectifs, s’entourer de personnes positives et motivées.
6. S’entourez de personnes qui réussissent.
7. Persister et ne jamais abandonner son but ! L’échec fait partie intégrante du parcours et doit être géré de manière rationnelle (changer de véhicule n’implique pas nécessairement de devoir changer de destination).
MON HISTOIRE
Faites-vous partie de ces gens qui ont toujours eu le sens de la négociation et de l’indépendance ?
Alors nous sommes pareil, à 7 ans je revendais le solde de mon abonnement de ski avant de quitter la station, je monétisais des baguettes de pain dans la cour de récréation, je négociais les cadeaux de Noël et la liste est longue. En un mot j’avais la bosse du commerce.
Mais comme pour beaucoup d’entre-nous, on m’a appris la politesse, le respect des règles, à céder sa place. On m’a également transmis beaucoup d’idées préconçues, étudie, apprends un bon métier, travaille dans une bonne entreprise, fait tes preuves, ne compte pas tes efforts et tu seras heureux toute ta vie !
C’est comme ça que j’ai vécu une bonne partie de ma vie, avec mon lot de succès et d’échecs.
Au fil des ans, à force travail et de persistance, j’ai atteint la fonction de directeur financier d’une des plus réputées Etudes d’avocats de mon pays ; pas mal pour un enfant ayant tout appris après sa scolarité obligatoire.
C’est vrai que d’apprendre à se battre jeune, notamment contre le système, aide beaucoup pour le développement de sa carrière par la suite ; les résistances sont beaucoup plus faibles.
Il est vrai que j’ai toujours cherché à sortir du système !
Moi et mon frère jumeau Marc, à l’époque de notre année musicale à Los Angeles.
Je me souviens de mon début de carrière, après une formation commerciale et six ans de fiscalité, d’assurances, de techniques de vente, d’études de langues, d’informatique et autres, j’en suis arrivé à la conclusion que je perdais mon temps à vouloir me créer d’excellents jobs, dans de mauvaises « boites » et que seule une activité professionnelle indépendante pourrait m’apporter la satisfaction dont je rêvais.
J’ai donc décidé de me lancer dans la production musicale et suis allé suivre une année d’études dans une célèbre école de jazz et de musiques contemporaines de Los Angeles.
Quelques années plus tard, c’est la mort dans l’âme que j’abandonna l’idée de vivre de la musique et repris une activité commerciale près de Lausanne, c’est là que j’ai rencontré la femme qui allait devenir la maman de mon fils, une excellente raison de développer ma carrière, non ?
Mes journées me semblaient interminables et d’un ennui incommensurable !!!
J’ai résisté, jour après jour, mois après mois et années après années. Je cherchais la stimulation sur mon temps libre, avec la mise en vente de villas à l’étranger, sur des sites Internet que je créais moi-même, mais je manquais terriblement d’épanouissement dans mon job ; c’était à mourir !
Arrivé à 40 ans, mon environnement professionnel était devenu toxique et j’avais l’impression d’y laisser ma santé et non, je n’avais vraiment pas envie de crever dans cet environnement morbide.
Alors j’ai à nouveau dit « au revoir », « auf wiedersehen », « bye bye », « arrivederci » !
J’ai eu quelques nuits difficiles, mais jamais de regret !
Il suffit tout simplement d’acquérir les bonnes connaissances, travailler son réseau, savoir idéntifier les bons “deals” et créer le bon business.
J’ai ouvert un bureau fiduciaire, recruté un brillant collaborateur et développé une clientèle à qui nous offrions des services fiscaux. Mais au bout de quelques mois, j’étais prisonnier de mon activité, j’ouvrais le bureau le matin, je le refermais le soir venu et je n’obtenais pas la satisfaction que j’espérais et pourtant c’était bien ma boite.
Eh oui, j’avais réussi à me créer un « job », mon bureau fiduciaire dépendais entièrement de moi et de mes finances, de plus, je n’arrivais pas à attirer la clientèle que je souhaitais.
Deux ans et un grave accident de voiture plus tard, me voici devant un magnifique immeuble tout en verre, de six mille mètres carrés, dans laquelle ne se trouvait rien de moins qu’une des plus importantes et plus prestigieuses études d’avocats de suisse.
Ma mission consistait à assumer pour quelques mois et durant la période des bouclements annuels et du reporting, la suppléance à la tête de la direction comptable et financière de l’entreprise.
Pour ceux d’entre vous qui êtes de la branche, vous vous imaginez bien que je n’ai pas chômé; en fait j’ai vécu là une des plus intense et des plus enrichissante expérience de ma vie professionnelle.
Les quelques mois de mission se sont transformés en onze années de bons et loyaux services; bien entendu que mon envie d’indépendance me dévorait toujours et je savais bien qu’un jour je reprendrai mon indépendance, mais mon travail était si prenant, que les années s’enchaînaient à tel point, que j’avais l’impression que le sapin de Noël qui ornait la réception de l’étude était constamment monté et démonté.
Puis un jour, le « wake up call », le coup de poing dans la g….. ! Un de ceux qu’on ne voit pas arrivé ; pour moi, ce fût un divorce.
Mon fils
Très vite j’ai découvert que le pire dans un divorce, ce n’est pas tant le ou la futur ex-conjoint(e), non, que le pire venait du cadre juridique. C’est lui qui dicte les conséquences du divorce, c’est lui qui vous impacte jusqu’au fonds de vos tripes et de vos poches, c’est lui qui peut vous chasser de chez vous.
Dure d’expliquer ce que l’on ressent dans ces circonstances-là, mais je sais que je ne suis de loin pas le seul à avoir vécu cela et je considère que j’ai plutôt eu de la chance, ma force morale m’a permis de pouvoir traverser cet évènement sans y perdre ma santé.
Grâce au nouveau droit (enfin) accordé aux pères en juillet 2014 (en Suisse), j’ai pu obtenir la garde partagée de mon fils ; quel bonheur, en fait la seule chose qui comptait vraiment pour moi durant cette épreuve.
C’est à cette époque que j’ai cherché à trouver des solutions pour ma situation et, durant mes vacances et mes weekends, j’ai commencé à suivre des programmes de « Mentorships », aux Etats-Unis d’abord, puis en Angleterre, en Suisse et ailleurs.
Je suis devenu un Ninja du business, ai appris auprès des seigneurs de leurs branches, à mieux canaliser mes efforts, à créer des opportunités commerciales, à investir sans argent, à vendre avant de construire, à m’entourer d’experts et une foule de techniques innovantes ; payées à prix d’or certes, mais de valeurs inestimables.
Quatre ans d’études plus tard et avec un enfant à charge, ainsi qu’une pension alimentaire à assumer, j’ai décidé de redevenir indépendant.
Mais cette fois, il ne s’agissait pas de faire le grand saut, cette solution s’imposait d’elle-même !
Avec le recul, ce qui m’avait le plus manqué lorsque j’avais 20 ans et que je voulais être maître de mon destin ou plus tard, lorsque j’avais 30 ans et que j’ai ouvert mon bureau fiduciaire, étaient un « Mentor », quelqu’un qui aurait déjà vécu l’expérience que je m’apprêtais à vivre et qui aurait pu me faire profiter de son expérience.
J’ai donc décidé de me lancer avec un coach, quelqu’un qui était prêt à me challenger, à me pousser hors de ma zone de confort, quelqu’un qui aurait le recul et les capacités nécessaires pour mettre en perspective mes actions et mesurer le rythme de ma progression. Quelqu’un avec qui je pourrais entreprendre plus en quelques mois, que je ne le pourrais seul en quelques années.
Lors d’un des mes seminaires LIVE
Alors je me suis fait accompagner, j’ai pris des notes, je me suis remis en question, j’ai mis en pratique les recommandations reçues, bien sûr j’ai aussi fait quelques erreurs, mais je me suis toujours relevé, j’ai affiné mes techniques, développé un business, appris à mieux m’entourer, puis ai développé un second business, puis un autres et ainsi de suite.
On me dit hyperactif et plein d’énergie, c’est vrai que je ne me suis jamais senti aussi bien de toute ma vie.
Il me tarde de me lever le matin pour poursuivre le développement de mes systèmes, je n’éprouve aucun besoin de vacances et vit de mes passions. J’ai passé 50 ans et me sent dans le corps d’un homme de 20 ans. Entre-temps mon fils devient un homme, je le vois grandir jour après jour, mois après mois et année après année ; quel bonheur.
Rien ne semble plus pouvoir me stopper et mon imagination est débordante ; on dit de moi que j’ai une idée par seconde (ce n’est pas forcément faut 😊).
Aujourd’hui mon plaisir est d’apporter des solutions au entrepreneurs de tout âge et tout horizon, de les assister avec mon équipe d’experts triés sur le volet, non seulement en raison de leurs expertises, mais également en raison de leur empathie pour autrui et de leur envie d’accompagner de nouveaux entrepreneurs qui, comme moi il n’y a pas si longtemps de cela, choisissent la voie de l’indépendance (sous toute ses formes) !
TROUVER LE BON DEAL
DÉVELOPPER COMPÉTENCES
DESIGNEZ DES STRATÉGIES GAGNANTES
NÉGOCIER
VOS COMMISSIONS
SAVOIR ANALYSER
ÔSER VOTRE LIBERTÉ FINANCIÈRE